Des photos qui patientent dans mes tiroirs, de marbre face à un WordPress qui s’amuse à faire des mosaïques déstructurées dès que je clique sur « publier ».
Les petits canards acidulés auront, eux, réussit à passer entre les mailles du filet.
Des photos qui patientent dans mes tiroirs, de marbre face à un WordPress qui s’amuse à faire des mosaïques déstructurées dès que je clique sur « publier ».
Les petits canards acidulés auront, eux, réussit à passer entre les mailles du filet.
Quelque part entre Lyon et Bordeaux, une mer de nuage à travers le hublot. Qui se colore sous le soleil couchant.
Juillet 2013. Virée nocturne sur les bords de la Garonne.
Profiter de la fraîcheur de la nuit. Retrouver le plaisir de pédaler sur mon Motobécane bleu. Jouer avec les lumières du pont Chaban. Et faire l’idiote(s) à vélo.
Été 2012. Sorrento. Amalfi. Capri. Naples. Découverte de l’Italie du Sud. Côté mer.
Réminiscence du nerf optique avant de partir pour de nouveau horizon. L’été 2013 sera plus plat, un peu moins chaud. Mais pas moins riche en kilomètres.
Road-trip hollandais Train/Vélo, J- bientôt !
Le retour des beaux jours. Enfin. A la campagne. Au calme. Les pieds au bords de l’eau. Hector à la main. Avec cette chanson de Chairlift qui trotte, trotte dans la tête.
Petite parenthèse dans le quotidien.
Bloc de béton noirâtre éclairer de rouge la nuit, la Base Sous Marine n’a vraiment rien d’une base nautique. Après plusieurs occasion loupée de rentrer dans le ventre de la bête, il y aura fallu un dimanche ensoleillé, un vide dressing bordelais suivit d’une visite à l’Ecole du Cirque pour satisfaire enfin ma curiosité. De façon inopinée.
A peine engouffrée à l’intérieur ce qui frappe c’est le vent, le noir, l’humide. Contraste saisissant. Puis vient cette peur archaïque, enfantine, en passant la large parcelle qui semble flotter sur les eaux sombres, d’un monstre marin tapis dans l’ombre.
Et puis finalement. L’envie d’en voir plus, frustrée de n’avoir découvert qu’un tout petit bout utilisé par une exposition forte, dérangeante (?) et magnifique, de ne pas avoir réussi à faire transpirer ce que dégage ce lieu. L’envie d’y revenir la nuit. Histoire de faire un pied de nez à Nessi !
La Caserne Niel. Un joli et grand terrain de jeu que l’on peut explorer en tout tranquillité. Enfin c’est ce que je croyais. Le projet Darwin avançant, les barrières fleurissent pour protéger les accès aux chantiers. Ayant tardé à traverser la Garonne pour y remettre mes pieds, le fin fond de cet immense terrain n’est donc toujours qu’un attirant mystère coloré à mes yeux.
Restait heureusement cette maison sans toit et presque sans barrière, cachée par le tout nouveau, tout beau bâtiment.
Virée dominicale. Prendre l’air sur les plages du Médoc. Revoir des amies de promo. Chercher le soleil qui joue à cache cache dans les nuages.
Et pourquoi pas.